Modalités de soumission

La Revue des études slaves publie en langue française, sauf cas exceptionnels, des articles originaux d’intérêt international. Un manuscrit proposé à la revue ne doit pas avoir donné lieu à une publication antérieure. L’auteur s’engage à conserver à la revue l’exclusivité de son texte jusqu’à son acceptation par le comité de rédaction (et ensuite jusqu’à sa publication). Un article publié dans la revue ne peut être ni reproduit ni traduit sans l’autorisation de l’éditeur. Les auteurs sont responsables du contenu de leurs contributions, de l’exactitude de leurs citations et de leurs références, et tenus de respecter le droit légal de publier le matériel proposé. Pour reproduire des données protégées par copyright, il leur incombe donc d’obtenir une autorisation écrite. L’origine de ces données doit figurer dans le manuscrit.

Les textes (rendus anonymes) sont soumis à l’expertise d’au moins deux personnalités, membres ou non des comités de la revue. Les lecteurs restent anonymes pour l’auteur qui est informé de leurs observations par le secrétariat de rédaction (accepté en l’état, accepté après modification, refusé). Les manuscrits doivent être adressés en pièce jointe par courrier électronique et en version papier au secrétariat de rédaction.

Le texte ne doit pas excéder 45 000 signes, espaces compris pour les articles et 9 000 signes espaces compris pour les comptes rendus d’ouvrages. Le titre de l’article sera suivi des noms et prénom de l’auteur, et de l’adresse complète de l’établissement scientifique dans le cadre duquel le travail a été réalisé. Dans le cas où plusieurs auteurs sont cosignataires, ils seront cités dans l’ordre alphabétique. Chaque auteur joindra à l’article un résumé en anglais et en français, titre compris d’un volume de 1000 signes (espaces compris).

La transcription des langues slaves suit les normes de la translittération internationale utilisée par les slavistes (voir le tableau de translittération en annexe) pour tous les noms d’origine étrangère, y compris pour ceux dont l’usage est fixé en français, exemple Lenin et non Lénine etc.

Présentation des références bibliographiques

Ouvrages

Prénom, nom de l’auteur, titre de l’ouvrage en italique, ville, éditeur, année, la ou les pages concernées (si la référence concerne plusieurs pages, indiquer simplement p. suivi des pages concernées, et non pp.), le tout séparé par des virgules.

Exemple
André Vaillant, Manuel du vieux slave, Paris, Institut d’études slaves, 1964, p. 234 (si plusieurs pages, p. 234-235).

Dans le cas d’ouvrages en langue étrangère, ne pas traduire le titre (donner éventuellement sa traduction entre crochets carrés).

Caryl Emerson, Boris Godunov : transpositions of a Russian theme, Bloomington, Indiana University Press, 1986.

Pour les ouvrages qui utilisent des alphabets autres que l’alphabet latin, donner le prénom et le nom de l’auteur en translittération, mais le titre dans la graphie originale, translittérer lieu et maison d’édition.

Exemple
Aleksandr Dolinin, « Вальтер-скоттовский историзм и ’Капитанская дочка’ », Пушкин и Англия, Moskva, NLO, 2007, p. 237-258.

Articles

En ce qui concerne les articles publiés dans des langues en caractères non latins, les mêmes règles que pour les ouvrages sont appliquées : nom et prénom de l’auteur en translittération, titre de l’article et du périodique ou de l’ouvrage en langue originale non translittérée (éventuellement traduction du titre de l’article mais jamais du périodique).

Exemple
Mark Azadovskij, Boris Egorov, « О низкопоклонстве и космополитизме 1948-1949 », Звезда, 1989, 6, p. 157-176 ; des mêmes auteurs « Космополиты », Новое литературное обозрение, 36, 1999, 2, p. 83-135.

Evgenij Toddes, « Б. М. Эйхенбаум в 30-50-ые годы (К истории советского литературоведения и советской гуманитарной интеллигенции) », Тыняновский сборник. Материалы, 11, Moskva, OGI, 2002, p. 649.

Translittération des langues slaves modernes

Fiche expertise